Rive de Gier -Col de la Gachet -Mercredi 27 février 2019
Rive de Gier et sa mairie accueillent ce mercredi 27 février vers 9h un bon groupe de 22 randonneurs et promeneurs qui comprend 3 féminines :Françoise,Marie- Claude et Valérie .
La sortie proposée par Bruno prévoit l'ascension du col de La Gachet avec retour par les monts du lyonnais
Une partie urbaine et fraiche de 5km jusqu'à Lorette fait que 3 groupes de 7 sont formés: les cracks devant avec Bruno,les moyens au milieu avec Gérard et les bons derrière emmenés par Jean Michel avec Claude pour fermer la marche.
Après Lorette début de l'ascension du col de La Gachet sur 15km avec un pourcentage jamais bien important,le soleil bien présent commence à chauffer.
Un petit arrêt à Cellieu pour se retrouver et récupérer
Ca repart en direction de Valfleury et du sommet dans les beaux paysages de la Loire.
Arrivée au sommet
Une bonne pause s'impose
Patrick et Bernard, pressés par le temps, doivent alors raccourcir et nous quitter comme convenu; ils étudient en détail le parcours du retour par St Romain en Jarez
Les 20 qui restent continuent vers St Christo en Jarez tout proche,ca pédale dur vu par François
Les routes tranquilles sur le plateau direction Fontanès
En direction de Chevrières une descente avec vue sur les monts du Forez enneigés et la station de ski de Chalmazel Pierre- sur- Haute( 1634m au sommet)
Prudence à Chevrières ,un gros tracteur arrive,arrêtons nous vite!! pour le laisser passer.
Enfin retour vers des lieux plus connus,St Denis/Coise et St Symphorien/Coise
Un dernier arrêt à St Symphorien (km 45) avant le casse croute (km 55)
Lea montée du Nézel à très bonne allure comme d'habitude avec Jean qui se distingue depuis le départ avec son vélo normal de route,le VAE est resté au garage.
Le temps de ranger les vélos et c'est le repas à la bonne franquette
Après avoir oublié mon sac dans la voiture,je suis récompensé par un excellent plat du jour!!

Un peu de baby foot avant le café et c'est le départ
Le plus facile reste à faire,,la descente vers Ste Catherine et St Martin la Plaine malgré quelques petits passages à 2%
Au final une très bonne sortie de 78km et 1250m de dénivelé qui sortait de l'ordinaire,favorisée par un temps exceptionnel et par l'excellente ambiance tout au long de la sortie de ce groupe important de 22 .
Merci aux animateurs Bruno,Gérard ,Jean -Michel,Claude,bravo encore à Jean qui pourra laisser son VAE au garage vu sa forme .
Merci aux photos de secours de Françoise et de François qui en plus nous a préparé un super compte rendu comme à son habitude qui est donné à la suite.
"Sortie Rives de Gier (27 Février 2019)
Présents dans le désordre (…et incognito): Jean-Louis Sagnard, Marie-Claude et Louis Genevois, Patrick Mallet, Françoise Perret, Raymond Sassolas, Jean Bricaud,, Jean P2-Motivé, Bernard Escande, Patrick Vittet, Henri Charrondière, Jean Michel Bernoud, Valérie P2-motivée, Jean-François Bazin, Jeannot Gérard, Jean Bricaud, Claude Poisson, Guy Tringwall, Gérard Biron, Bruno Garnier, Jacques Vanel, François Morlé.
22 valeureux CODAPiens sont rassemblés désormais incognito et motivés sur la place centrale de Rives de Gier pour une première photo souvenir avant de changer leur fusil d’épaule pour un tir groupé vers le col de la Gachet. Le printemps frémissant, plusieurs cardons sont dépaillés tandis que quelques rares genoux cagneux s’exposent malgré eux tout pâles à la vue de nos 3 fées minimes du jour. Notons que Patrick, cette fois-ci « Mallet », est là aussi - venu dit-il - à titre d’entrainement pour le col de son « tour » prévu au programme du séjour prochain des « pires ainés ».
En bon manager toujours soucieux de ménager ses troupes, Bruno commence par nous informer que « tout va bien se passer » puisque, selon l’ordre des choses, nous allons monter, manger, puis redescendre ce qui rassure effectivement tout le monde (et accessoirement simplifie le CR). Partagés en 3 (prenant garde toutefois de répartir les membres les plus dissipés afin d’éviter d’être trop souvent pliés en 4) nous rejoignons une deuxième fois Lorette (l’autre étant restée à la maison, réveillée entretemps par la maréchaussée lui signalant la récupération de mon portefeuille égaré le matin même en vélo…autrement dit, l’art de retrouver ses biens avant même de les avoir perdus…) avant de nous élançer dans la pente des coteaux du Jaret comme des costaux en Jarrets. Ainsi, comme prévu, ça monte…et effectivement « tous passent bien » le fameux col sans gâcher leur plaisir (mais ne craint-on pas là que le narrateur s’épuise car il semble que l’histoire se répète ici de CR en CR… ?). Nous saluons du col Patrick et Bernard qui, pour éVittet l’exclandre en rentrant à la maison, doivent nous quitter pour rejoindre d’autres obligations.
Bonne surprise, ce n’est pas encore l’heure de manger mais ça descend déjà un bon bout jusqu’à Chazelle avant de remonter tout doux jusqu’à Saint Martin en Haut (et « symphérien » si la bosse est un peu raide en passant sur Coise car nous arrivons bien vite à la cantine). Casse-croute commun tiré du sac au premier étage du P’tit Viand’Art à côté du baby-foot, présidé par notre « décintré miraculé du tracteur » Jean Louis qui file mignon comme un gratin en pâte au menu du jour prétextant l’oubli de ses triangles fourrés. Le tout arrosé comme à l’usage, de demis, citronnades (galopin et coquin light pour Guy toujours aguicheur), suivi de boissons chaudes (noires, s’il vous plait !).
Remontée en selle pour une descente, de mémoire très contre-versée, suscitant de nombreux débats : L’animateur doit-il tout dire ? doit-il dire notamment si ça monte quand ça doit descendre ou si ça descend quand ça doit monter… ?? Les plus anciens, forts de leur longue expérience, assurent qu’il vaut mieux mentir surtout quand ça monte alors que ça devait descendre mais que cela ne vaut pas le coup d’en faire tout un plat. La génération « montante » considère quant à elle qu’il est préférable d’éduquer l’esprit critique du citoyen en lui montrant froidement le profil de façon à ce que chacun se fasse « l’opignon » (toute à droite ou toute à gauche) en fonction de la pente réelle appréciée de façon autonome (l’idée étant de ne pas lutter contre « la montre » - que celle-ci se fasse sur l’écran du GPS ou sur l’impression du profil - mais surtout de prendre le temps d’en profiter). Arrivée donc sans peine après Saint Martin dans la plaine qu’on en oublierait presque l’essentiel : encore une belle sortie printanière avant l’heure pour le plus grand bonheur de tous…et merci à Bruno de nous avoir menti ainsi qu’à tous d’y avoir cru (encore un bon cru somme toute).
Pour le carnet de bal : 1250 D+ (autant en descente !) et 78 km .
François "